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Mages. — Préceptes de leur religion utiles à la propagation, L. 119. — Voyez Guèbres.

MAHOMET. — Comment il prouve que la chair de pourceau est immonde, L. 18. — Signes qui ont précédé et accompagne sa naissance, L. 39. — Donne la supériorité aux hommes sur les femmes, ibid.

Mahométans. — Croient que le voyage de la Mecque les purifie des souillures qu’ils contractent parmi les chrétiens, L. 15. — En quoi ils font consister la souillure, L. 17. — Leur surprise, en entrant pour la première fois dans une ville chrétienne, L. 23. — Pourquoi ils ont en horreur la ville de Venise, L. 31. — Leurs princes, malgré la défense, font plus d’excès de vin que les princes chrétiens, L. 33. — Ne connaissent leurs femmes, avant de les épouser, que sur le rapport des femmes qui les ont vues dans leur enfance, L. 70. — Leur loi leur permet de renvoyer une femme qu’ils croient n’avoir pas trouvée vierge, ibid. — Paraissent plus persuadés de leur religion que les chrétiens, L. 75. — Pourquoi il y a des pays dont ils ne veulent pas faire la conquête, ibid. — L’idée qu’ils ont de la vie future nuit, chez eux, à la propagation et à tout établissement utile, L. 119. — Prêtent une grande vertu aux amulettes et aux talismans, L. 143.

Mahométisme. — Comparé au christianisme, L. 35. — Cette religion est une fille de la religion juive, L. 60. — Ne donne aux femmes aucune espérance au delà de cette vie, L. 67. — N’a été établi que par la voie de conquête et non par celle de la persuasion, ibid.— Défavorable à la population, L. 114.

MAIMBOURG (le père). — L. 143.

MAINE (le duc du).— Fait prisonnier, L. 126.

Maîtres de sciences. — La plupart ont le talent d’enseigner ce qu’ils ne savent pas, L. 58.

Maîtresses des rois, L. 107.

Maladie vénérienne. — Danger dans lequel elle a mis le genre humain, L. 113.

Malte (les chevaliers de).—Fatiguent l’empire ottoman, L. 19.

Maltôtiers. — Sont estimés à proportion de leurs richesses ; aussi ne négligent-ils rien pour mériter l’estime, L. 98. — Chambre de justice établie contre eux, ibid.

Mandements. — Combien ils coûtent de peine a faire à quelques évêques L. 101.

Marchands, L. 58.

Mariage. — Tous les enfants qui naissent pendant le mariage appartiennent au mari, L. 86. — La prohibition du divorce a donné atteinte à sa fin, L. 116. — Celui des chrétiens est un mystère, ibid. — Sa sainteté paraîlt contradictoire avec celle du célibat, L. 117.

Maures. — On s’est mal trouvé, en Espagne de les avoir chassés, L. 60 — Leur expulsion a dépeuplé ce pays, L. 121.

MAZARIN. — Ses ennemis croyaient le perdre en le chargeant de ridicules, L. 111.

Mecque (la). — Les musulmans croient s’y purifier des souillures qu’ils contractent parmi les chrétiens, L. 15.

Médecine. — Ses formes sont aussi pernicieuses que les formes judiciaires, L. 100.

Médecine (Livres de). — Effrayent et consolent tout à la fois, L. 135.

Médecins. — Préférés aux confesseurs par les héritiers, L. 57. — Recettes singulières d’un médecin de province, L. 143.

Médiocrité d’esprit. — Plus utile que la supériorité d’esprit, L. 145.

Métaphysiciens. — Objet principal de leur science, L. 135.

Militaires. — Portrait de ceux qui ont vieilli dans les emplois subalternes, L. 48.

Mines. — Sont, en partie, cause de la dépopulation de l’Amérique, L. 118.

Ministère. — La bonne foi en est l’âme, L. 146.

Ministres. — Ceux qui ôtent aux peuples la confiance de leurs rois méritent mille morts, L. 127. — Sont toujours la cause de la méchanceté de leurs maîtres, ibid.— Incertitude de leur état, L. 138. — Leur mauvaise foi les déshonore à la face de tout l’état ; celle des particuliers les déshonore devant un petit nombre de gens seulement, L. 146. — Les mauvais exemples qu’ils donnent sont le plus grand mal qu’ils puissent faire, ibid.

Miracles. — On ne doit pas attribuer à des causes surnaturelles ce qui peut être produit par cent mille causes naturelles, L. 143.

Miraculum chymicum, L. 143.

Mode. — Ses caprices : plaisanteries à ce sujet, L. 91).

Modernes. — Ridicule de la querelle sur les anciens et les modernes, L. 36.

Modestie. — Ses avantages sur la vanité, L. 124.

Mogol. — Plus il est matériel, plus ses sujets le croient capable de faire leur bonheur, L. 40. — Histoire plaisante d’une femme de ce pays, qui vouloit se brûler sur le corps de son mari, L. 125.

Moines. — Leur nombre ; leurs vœux ; comment ils les observent, L. 57. — Leur titre de pauvres les empêche de l’être, ibid.

MOÏSE, L. 69.

MOLINA, L. 143.

Mollaks. — N’entendent rien à expliquer la morale, L. 10.

Mollesse. — Incompatible avec les arts, L. 106.

Monachisme. — Il contribue à la dépopulation, L. 117. — Ses abus, ibid.

Monarchie. — C’est le gouvernement dominant en Europe, L. 102. — Y a-t-il jamais eu des États vraiment monarchiques ? ibid. — C’est la première espèce de gouvernement connue, ibid.

Monarques. — Pourquoi ceux d’Europe n’exercent pas leur pouvoir avec autant d’étendue que les sultans, L. 102.

Monde. — Causes de sa dépopulation, L. 112, 122. — N’a pas à présent la dixième partie des habitants qu’il contenait autrefois, L. 112. — Voyez Dépopulation. — A-t-il eu un commencement, L. 113.

MONTESQUIEU (M. de). — Se peint dans la personne d’Usbek, L. 48.

Morale. — Il ne suffit pas d’en persuader les vérités, il faut les faire sentir, L. 11.

Morale (Livres de). — Plus utiles que les livres ascétiques, L. 134.

Moscovie. — C’est le seul État chrétien dont les intérêts soient mêlés avec ceux de la Perse, L. 51. — Son étendue, ibid.

Moscovites. — Ils sont tous esclaves, à la réserve de quatre familles, L. 51. — Pays où l’on exile les grands, ibid. — Le vin leur est défendu, ibid. — Accueil qu’ils font a leurs hôtes, ibid. — Les femmes moscovites aiment à être battues par leur mari ; lettre à ce sujet, ibid. — Ne peuvent sortir de l’empire, ibid. — Leur attachement pour leur barbe, ibid.

Mouvement. — Ses lois font le système de la nature ; quelles sont ces lois ? L. 97.

MUSTAPHA. — Comment il fut élève à l’empire, L. 80.

Musulmans. — Voyez Mahométans.

Mystiques. — Leurs extases sont le délire de la dévotion, L. 134.

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