Rat. — Pourquoi immonde, suivant la tradition musulmane, L. 18.
RAYMON LULLE. — A cherché inutilement la pierre philosophale, L. 45.
Recueil de bons mots. — Leur usage, L. 54.
Régence. — Ses commencements, L. 138.
Régent.— Voyez Philippe D’orléans.
Religion. — Dieu impute-t-il aux hommes de ne pas pratiquer celle qu’ils sont dans l’impossibilité morale de connaître, L. 35. — La charité et l’humanité en sont les premières lois, L. 46. — Dieu ne l’a établie que pour rendre les hommes heureux, ibid. — Il faut distinguer le zèle pour ses progrès d’avec l’attachement qu’on lui doit, L. 60. — Il semble qu’elle est, chez les chrétiens, plutôt un sujet de dispute que de sanctification, L. 75. — Il y en a, parmi eux, dont la foi dépend des circonstances, ibid.
Religions. — Leur grand nombre embarrasse ceux qui cherchent la vraie ; prière singulière sur ce sujet, L. 46. — Leur multiplicité dans un état est-elle utile ? Elles prêchent toutes la soumission, L. 85. — Différentes béatitudes qu’elles promettent, L. 125.
Religion chrétienne. — Elle n’est pas favorable à la population, L. 116. — Juive. Est la mère du christianisme et du mahométisme, L. 60. — Embrasse le monde entier et tous les temps, ibid. — Mahomètane. Défavorable à la population, L. 114.— Des anciens Romains. Favorable à la population, ibid.
Remède pour guérir de l’asthme, L. 143. — Pour préserver de la gale, etc., ibid. — Autre in chlorosim, ibid.
Représailles. — Sont justes, L. 95.
Représenter.— Portrait d’un homme qui représente bien, L. 74.
Républiques. — Elles sont le sanctuaire de l’honneur et de la vertu, L. 89. — Sont moins anciennes que les monarchies, L. 102.
Respect. — Il est tout acquis aux grands ; ils n’ont besoin que de se rendre aimables, L. 74.
RICA, compagnon de voyage d’Usbek : son caractère, L. 25, 48.
Richesses. — Pourquoi la Providence n’en a pas fait le prix de la vertu, L. 98.
Robe (les gens de). — Méprisent les gens d’église et ceux d’épée, et en sont méprisés, L. 44.
Rois. — Leurs libéralités sont onéreuses au peuple, L. 124. — Leur ambition est toujours moins dangereuse que la bassesse d’âme de leurs ministres, L. 127. — D’Europe. Leur caractère ne se développe qu’entre les mains de leur maltresse ou de leur confesseur, L. 107.
Romains. — Ils obéissaient à leurs femmes, L. 38. — Une partie des peuples qui ont détruit leur empire était originaire de Tartarie, L. 81. — Leur religion était favorable à la population, L. 114. — Leurs esclaves remplissaient l’état d’un peuple innombrable, L. 115. — Les criminels qu’ils reléguaient en Sardaigne y périssaient, L. 121. —Tous les royaumes de l’Europe sont formés des débris de leur empire, L. 136.
Romans. — Jugement sur ces sortes d’ouvrages, L. 137. — Des Orientaux, ibid.
Rome ancienne. — Nombre énorme de ses habitants, L. 112. — On y punissait le célibat, L. 117. — Origine de cette république ; sa liberté opprimée par César, L. 131.
ROXANE, femme d’Usbek. — Usbek vante sa sagesse et sa vertu, L.20.— Opiniâtreté avec laquelle elle résiste aux empressements de son mari pendant les premiers mois de son mariage, L. 26. — Conserve tout l’extérieur de la vertu au milieu des désordres qui régnent dans le sérail, L. 151. — Ses plaintes sur les châtiments que le grand eunuque fait subir aux autres femmes d’Usbek, L. 156. — Surprise entre les bras d’un jeune homme, L. 159. — S’empoisonne : sa lettre à Usbek, L. 161.