La course pénible.
Je me réjouis que vos forces vous permettent d’aller à Milan à la rencontre de Tiro, mais, afin que vous les conserviez, je vous prie de ne pas vous imposer une si grande fatigue, qui ne convient plus à votre âge. Et même je vous supplie d’attendre Tiro chez vous, dans votre maison, et même sans quitter le seuil de votre chambre. Comme j’ai pour lui l’affection d’un frère, il ne doit pas exiger de celui que je vénère comme un père, une attention dont il aurait dispensé son propre père. Adieu.