5. CONCLUSION

Les pigeons qui tremblent dans la prairie,

Le gibier qui court et qui voit la nuit,

Les bêtes des eaux, la bête asservie,

Les derniers papillons ! ... ont soif aussi.

Mais fondre où fond ce nuage sans guide,

– Oh ! favorisé de ce qui est frais !

Expirer en ces violettes humides

Dont les aurores chargent ces forêts ?

Mai 1872