IX

Alors l’âme pourrie et l’âme désolée

Sentiront ruisseler tes malédictions.

– Ils auront couché sur ta Haine inviolée,

Échappés, pour la mort, des justes passions.

Christ ! ô Christ, éternel voleur des énergies,

Dieu qui pour deux mille ans vouas à ta pâleur

Cloués au sol, de honte et de céphalalgies,

Ou renversés, les fronts des femmes de douleur

Juillet 1871