(1857)
À mes petites filles
Camille et Madeleine de Malaret
Mes très chères enfants,
Voici les contes dont le récit vous a tant amusées, et que je vous avais promis de publier.
En les lisant, chères petites, pensez à votre vieille grand’mère, qui, pour vous plaire, est sortie de son obscurité et a livré à la censure du public le nom de la COMTESSE DE SÉGUR, née Rostopchine.