Trois jours sur la route, sans nouvelles, et y en eût-il eu que je n’aurais pas eu le temps d’écrire, car chaque moment est précieux. Nous ne nous sommes arrêtés que pour laisser reposer les chevaux ; mais, tous deux, nous supportons admirablement l’épreuve. Nos aventures d’autrefois nous ont été très utiles ; sans elles, aurions-nous été à même d’entreprendre celle-ci ? Il nous faut poursuivre. Nous ne nous sentirons heureux que lorsque nous reverrons la vedette.