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Jules Verne — L’École des Robinsons
Jules Verne
L’École des Robinsons
L’École des Robinsons
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Jules Verne
(1882)
Où le lecteur trouvera, s’il le veut, l’occasion d’acheter une île de l’océan Pacifique
Comment William W. Kolderup de San Francisco fut aux prises avec J.-R. Taskinar, de Stockton
Où la conversation de Phina Hollaney et de Godfrey Morgan est accompagnée au piano
Dans lequel T. Artelett, dit Tartelett, est correctement présenté au lecteur
Dans lequel on se prépare à partir, et à la fin duquel on part pour tout de bon
Dans lequel le lecteur est appelé à faire connaissance avec un nouveau personnage
Dans lequel on verra que William W. Kolderup n’a peut-être pas eu tort de faire assurer son navire
Qui conduit Godfrey à de chagrines réflexions sur la manie des voyages
Où il est démontré que tout n’est pas rose dans le métier de Robinson
Où Godfrey fait ce que tout autre naufragé eût fait en pareille circonstance
Dans lequel la question du logement est résolue autant qu’elle peut l’être
Qui se termine juste à point par un superbe et heureux coup de foudre
Où Godfrey voit encore s’élever une légère fumée sur un autre point de l’île
Dans lequel Godfrey trouve une épave, à laquelle son compagnon et lui font bon accueil
Où il arrive ce qui arrive au moins une fois dans la vie de tout Robinson vrai ou imaginaire
Dans lequel se produit un incident qui ne saurait surprendre le lecteur
Dans lequel le fusil du professeur Tartelett fait véritablement merveille
Qui traite de l’éducation morale et physique d’un simple indigène du Pacifique
Dans lequel la situation déjà gravement compromise se complique de plus en plus
Dans lequel Tartelett répète sur tous les tons qu’il voudrait bien s’en aller
Qui se termine par une réflexion absolument surprenante du nègre Carèfinotu
Lequel conclut en expliquant tout ce qui avait paru être absolument inexplicable jusqu’ici
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