22

Ne soyez le parrain que de vos enfants.

Si l’on vous propose un filleul, voire une jolie commère, répondez imperturbablement que la religion catholique considérant un parrain comme chargé, aux yeux de Dieu, de l’âme de son filleul, qui devient ainsi son fils spirituel, vous vous êtes fait une loi de ne jamais prendre sur vous une pareille responsabilité.

Cette phrase renferme dignité, savoir, noblesse, prudence.

Le plus petit baptême coûte cent écus à un homme honorable, sans compter le filleul.

Nous savons cependant qu’il est des circonstances où l’on est forcé d’être le parrain de son filleul ; mais c’est une extension extra-conjugale du principe que nous avons posé d’abord.

Share on Twitter Share on Facebook