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Que de maris ne se font aucun scrupule de dévorer le bien de leurs femmes !… ou celui de leurs enfants. Que de femmes prodigues et légères !

On devrait marier toutes les femmes séparées de biens ; cela n’empêche pas les testaments d’aller leur train.

Une femme qui a tout donné à son mari a commis une grande sottise.

Il y a une coquetterie dans les bienfaits comme en amour.

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