III.

Maintenant, dire où j’ai connu

Ces merveilles de miniature,

Clic ! clac !

Le premier chroniqueur venu

Vous en contera l’aventure.

Clic ! clac !

Je vous avouerai cependant

Que souventes fois il m’arrive,

Clic ! clac !

De verser, en les regardant,

Une grosse larme furtive.

Clic ! clac !

Je songe que tout doit finir,

Même un poème d’humoriste,

Clic ! clac !

Et qu’un jour prochain peut venir

Où je serai bien seul, bien triste,

Clic ! clac !

Lorsque, – pour une fois,

Mes oiseaux prenant leur volée,

Clic ! clac !

De loin, sur l’escalier de bois,

J’entendrai, l’âme désolée :

Clic ! clac !