IV.

Il est des graines de rechange

Pour tout amoureux chapelet.

Nous pourrions, encor, s’il voulait,

Le ressusciter, ce cher ange.

Mais non ! il est là comme il est ;

Je ne veux pas qu’on le dérange.

Miserere !

Par pitié, fermez cette tombe ;

Jamais je n’avais tant pleuré !

Oh ! dites pourquoi, ma colombe,

L’avons-nous si bien enterré ?

Miserere !