[2] Burckhardt, Notes on the Bedouins, p. 66, 67; Burton, Pilgrimage to El Medinah and Meccah, t. II, p. 112.
[3] Mobarrad, p. 71.
[4] Mobarrad, ibid. Comparez aussi Ibn-Nobâta, apud Rasmussen, Addit. ad hist. Arabum, p. 18 du texte.
[5] Burckhardt, p. 68; Caussin, t. II, p. 634.
[6] Burckhardt, p. 41.
[7] Caussin, t. II, p. 555, 611.
[8] Burckhardt, p. 40.
[9] Caussin, t. II, p. 627.
[10] Tabarî, t. II, p. 254.
[11] Caussin, t. II, p, 424.
[12] Ibn-Khaldoun, Prolégomènes (XVI), p. 250; Raihân, fol. 146 r.
[13] Mobarrad, p. 233.
[14] Voyez Burckhardt, p. 141.
[15] Voyez Caussin, t. II, p. 314 et suiv., 345, 509 et suiv., 513.
[16] Voyez Burckhardt, p. 41.
[17] Moallaca d'Amr ibn-Colthoum.
[18] Caussin, t. II, p. 281, 391; t. III, p. 99. Comparez Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Châm, p. 77, 198, 200.
[19] Burckhardt, p. 160.
[20] Le même, ibid.
[21] Caussin, t. I, p. 111.
[22] Caussin, t. I, p. 114.
[23] Baidhâwî, Commentaire sur le Coran, sour. 5, vs. 7.
[24] Caussin, t. II, p. 78.
[25] Moallaca d'Amr ibn-Colthoum.
[26] Raihân, fol. 105 v.
[27] Ibn-Khaldoun, Prolég. (XVII), p. 296.
[28] Sprenger, Life of Mohammed, p. 186; Caussin, t. III, p. 288.
[29] Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Châm, p. 238, 239.
[30] Abou-Ismâîl al-Baçrî, p. 237.
[31] Abou-'l-mahâsin, t. I, p. 343.
[32] Ibn-Adhârî, t. I, p. 34.
[33] Nœldeke, Geschichte des Qorâns, p. 204.
[34] Burckhardt, p. 160.
[35] Burton, Pilgrimage, t. II, p. 86, 109.
[36] Caussin, t. III, p. 231.
[37] Le même, t. III, p. 507.
[38] Ibn-Khaldoun, Prolégomènes (XVI), p. 243.
[39] Voyez le Coran, sour. 49, vs. 13.
[40] Voyez les exemples que j'ai cités dans mes Recherches, t. I, p. 87, note 2.
[41] Voyez le Cartâs, p. 25, Içtakhrî, p. 26, Ahmed ibn-abî-Yacoub, Kitâb al-boldân, fol. 52 v. (article sur Coufa).
[42] Ahmed ibn-abî-Yacoub, fol. 64 v.: dja'ala licolli cabîlatin mahrasan.
[43] Ahmed ibn-abî-Yacoub, fol. 53 v.: wacânat licolli cabîlatin djabbânaton to'rafo bihim wabiroasâihim.
[44] Voyez des exemples chez Ibn-Cotaiba, p. 121, Tabarî, t. I, p. 80, t. II, p. 4.
[45] Voyez Tabarî, t. II, p. 206, 208, 210, 224.
[46] Voyez Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Châm, p. 208, 209.
[47] C'est ainsi qu'il faut entendre la phrase: «un tel se présenta avec ses contribules à Omar, qui lui donna le commandement de sa tribu;» phrase qui se trouve à différentes reprises chez Tabarî, t. II, p. 210. Voyez aussi Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Châm, p. 45.
[48] Burckhardt, p. 295.
[49] Voyez Tabarî, t. II, p. 164 et passim.
[50] Tabarî, t. I, p. 110.
[51] Voyez Abou-Ismâîl al-Baçrî, p. 161, 162, l. 3.
[52] Abou-Ismâîl al-Baçrî, p. 37-39.
[53] Abdallâh ibn-Sad ibn-Abî-Sarh.
[54] Voyez Weil, Geschichte der Chalifen, t. I, p. 171, note 2.
[55] Voyez sur Hotaia la note de M. Caussin, apud de Slane, traduction anglaise d'Ibn-Khallicân, t. I, p. 209.
[56] Masoudî, man. 127, p. 185; al-Mokhtâr min nawâdir al-akhbâr, man. de Leyde 495, fol. 28 v.
[57] Voyez Weil, t. I, p. 166.
[58] Voyez Tabarî, t. II, p. 250, 252.
[59] Masoudî, p. 194; Ibn-Badroun, p. 148.
[60] Voyez Masoudî, p. 204-206.
[61] Expression d'Alî lui-même, parlant aux Arabes de l'Irâc (apud Reiske, notes sur Aboulfeda, t. I, p. 67).
[62] Burckhardt, p. 178.
[63] Nawawî, p. 565.
[64] Raihân, fol. 200 r.
[65] Masoudî, man. 537 d, fol. 159 r.
[66] Weil, t. I, p. 217, dans la note.
[67] Weil, t. I, p. 225.
[68] Raihân, fol. 197; Masoudî, fol. 231 r.
[69] Voyez Weil, t. I, p. 227.
[70] Masoudî, fol. 231 r.
[71] Masoudî, fol. 232 r. et v.
[72] Chahrastânî, p. 85, 86.
[73] En arabe Khawâridj.
[74] Nous aurons plus tard l'occasion de revenir sur cette secte remarquable.
[75] Weil, t. I, p. 246.
[76] Masoudî, p. 278.
[77] Mobarrad, p. 304, 305; Masoudî, p. 277.
[78] Abou-'l-mahâsin, t. I, p. 113.
[79] Masoudî, p. 277, 278.
[80] Voyez Raihân, fol. 138 r.-139 r.; Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 295-297; Raihân, fol. 139 r. et v., 140 r.; Masoudî, 537 d, fol. 141 r. et v.
[81] «Nullam umquam sibi regalis fastigii causâ gloriam appetivit, sed cum omnibus civiliter vixit.» Isidore de Béja, ch. 18.
[82] «Vir nimium gratissime habitus.» Isidore. Tout ce que dit cet auteur quasi-contemporain sur le caractère des Omaiyades est d'un grand intérêt, parce qu'il reproduit l'opinion des Syriens établis en Espagne, tandis que les écrivains arabes, bien moins anciens d'ailleurs, jugent d'ordinaire ces princes au point de vue des hommes de Médine.—Voyez aussi l'élégie sur la mort de Yézîd dans Wright, Opuscula Arabica, p. 118, 119.
[83] Ibn-Badroun, p. 164.
[84] Nouveau Journ. asiat., t. IX, p. 332.
[85] Aghânî, t. I, p. 18; cf. Ibn-Badroun, p. 199.
[86] Ahmed ibn-abî-Yacoub, fol. 62 v.
[87] C'était, comme on l'a vu, le nom de la tribu dont Ibn-Idhâh était le chef.
[88] Aghânî, t. I, p. 18.
[89] Cf. Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 209, éd. Lees.
[90] Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 170 r., 169 r.; Samhoudî, man. de Paris, no 763 bis, fol. 31 r.
[91] Raihân, fol. 200 v.; Samhoudi, loco laudato.
[92] Weil, t. I, p. 326. Le dixième député, Mondhir, fils de Zobair, n'accompagna pas ses collègues pendant leur retour à Médine, car il avait obtenu de Yézîd la permission d'aller en Irâc; voir Ibn-Khaldoun, fol. 169 r.
[93] Ces paroles se trouvent dans l'Aghânî, p. 19, l. 19: un passage d'Abou-Ismâil al-Baçrî (Fotouh as-Châm, p. 237, l. 10) montre, je crois, qu'il faut les traduire comme je l'ai fait.
[94] Aghânî, t. I, p. 18-20. Comme M. Weil l'a dit avec raison, il faut rayer, p. 18, dernière ligne, le mot alaihi.
[95] Raihân, fol. 200 v.
[96] Weil, t. I, p. 326, dans la note.
[97] Aghânî, t. I, p. 21.
[98] Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 209, éd. Lees.
[99] Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 169 r. et v.
[100] Samhoudî.
[101] Voir note A, à la fin de ce volume.
[102] Dans plusieurs manuscrits on lit par erreur Morrî, au lieu de Mozanî. La véritable leçon se trouve chez Fâkihî, fol. 400 r.
[103] Ibn-Khaldoun, fol. 169 v.; Samhoudî.
[104] Aghânî, t. I, p. 21.
[105] Ibn-Khaldoun; Samhoudî.
[106] Fâkihî, fol. 400 r.
[107] Ibn-al-Athîr, man. de Paris (C. P.), t. III, fol. 78 r.
[108] Ibn-Khaldoun.
[109] Raihân, fol. 200 v.
[110] Ibn-Khaldoun.
[111] Voir sur lui Nawawî, p. 567, Ibn-Cotaiba, p. 152, Samhoudî, fol. 32.
[112] Ibn-Cotaiba, p. 201.
[113] Ibn-al-Athîr, t. III, fol. 78 r.-79 v.; Samhoudî, fol. 31 r. et suiv.; Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 169 v.-170 v.; Raihân, fol. 200 v., 201 r.
[114] Samhoudî, fol. 31 r.
[115] Ibn-al-Athîr, t. IV, fol. 17 r.
[116] Samhoudî; Raihân.
[117] Samhoudî, fol. 30 r.
[118] Maccarî, t. I, p. 187.
[119] Le même, ibid.
[120] Voyez Burckhardt, Travels in Arabia, t. II, p. 237. D'après Burton (Pilgrimage, t. II, p. 1), il n'y aurait à Médine que quatre de ces familles.
[121] Abou-'l-fedâ, t. II, p. 64.
[122] Ibn-Adhârî, t. II, p. 84.
[123] Caussin, t. II, p. 285.
[124] Dans le Mahra, il est vrai, l'ancienne langue s'était conservée, et les autres Arabes ne comprenaient presque pas la langue de cette province. Voyez Içtakhrî, p. 14.
[125] Voyez sur ce dernier point, Volney, Voyage en Syrie et en Egypte, t. I, p. 440; Journ. asiat. allemand, t. V, p. 501, t. VI, p. 389, 390; Robinson, La Palestine, t. II, p. 481, 601 de la traduction allemande, et la note dans laquelle l'auteur renvoie aux voyages de Niebuhr et de Burckhardt.
[126] Hamâsa de Bohtorî, man. de Leyde, p. 35.
[127] Mobarrad, p. 195.
[128] Robinson, t. II, p. 601.
[129] Commentaire de Soccarî sur le Divan de Ferazdac, man. d'Oxford, fol. 93 v.
[130] Içtakhrî, p. 13.
[131] Tabarî, t. II, p. 254; Abou-Ismâîl al-Baçrî, Fotouh as-Châm, p. 12, 195.
[132] Wüstenfeld, Tables généalogiques, p. 265.
[133] Hamâsa, p. 319, 658.
[134] Sîrat ar-rasoul, dans le Journal des savants de 1832, p. 542.
[135] Raihân, fol. 202 r.
[136] Isidore, c. 18.
[137] Hamâsa, p. 319; cf. Raihân, fol. 187 r.
[138] Raihân, fol. 187 r.
[139] Voir Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 171 r. et v.
[140] Hamâsa, p. 319.
[141] Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 170 v.
[142] Raihân, fol. 187 r.; Ibn-Khaldoun, fol. 172 r.
[143] Voir Içtakhrî, p. 37.
[144] Les Fihr étaient les Coraichites de la banlieue de la Mecque.
[145] Ibn-Khaldoun, fol. 172 r.
[146] Abou-'l-mahâsin, apud Weil, t. I, p. 331, dans la note.
[147] Fâkihî, fol. 400 v.; Raihân, fol. 201 v.; Ibn-Khaldoun, fol. 170 v.
[148] Il y a d'autres traditions sur la cause de cet incendie; mais celle que je donne dans le texte paraît la seule vraie à Ibn-Khaldoun (fol. 170 v.); c'est aussi la seule qui se trouve chez l'auteur le plus ancien et le plus digne de foi, Fâkihî (fol. 400 v.).
[149] Raihân, fol. 187 v.; Hamâsa, p. 318.
[150] Ibn-Khaldoun, fol. 172 v.
[151] Raihân, fol. 187 v.; Hamâsa; Ibn-Khaldoun, fol. 172 r. et v.
[152] Hamâsa, p. 318.
[153] Ibn-Khaldoun, fol. 172 v.
[154] Voir Hamâsa, p. 659, vs. 5 du poème.
[155] Masoudî.—Tout cela ressemblait assez à la capitulation que la noblesse danoise faisait jurer par celui qu'elle avait élu roi.
[156] Ibn-Khaldoun.
[157] Masoudî.
[158] Ibn-Khaldoun.
[159] Ibn-al-Athîr, t. III, fol. 84 v.; Ibn-Khaldoun.
[160] Ibn-al-Athîr; Ibn-Khaldoun. Voir la note B, à la fin de ce volume.
[161] Masoudî.
[162] Chef des Nomair; voyez Hamâsa, p. 318.
[163] Masoudî; Hamâsa, p. 72; Raihân, fol. 187 v.; Ibn-Badroun, p. 185; Hamâsa de Bohtorî, p. 34.
[164] Raihân, fol. 187 v.
[165] Hamâsa, p. 317, où il faut lire Kelbî au lieu de Kilâbî; cf. p. 656.
[166] Raihân, fol. 187 v. Cf. Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 301.
[167] Ibn-Khallicân, t. I, p. 323 et suiv., éd. de Slane; Ibn-No-bâta, apud Rasmussen, Additamenta ad historiam Arabum, p. 16 et suiv. du texte.
[168] Mobarrad, p. 699. «Plus incrédule qu'un âne,» dit le texte.
[169] Ibn-Khallicân, t. I, p. 325, éd. de Slane.
[170] Mobarrad, p. 651.
[171] Mobarrad, p. 588.
[172] Mobarrad, p. 704.
[173] Chahrastânî et Mobarrad, passim.
[174] Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 543.
[175] Chahrastânî, p. 91.
[176] Chahrastânî, p. 87, 90.
[177] Mobarrad, p. 575.
[178] Mobarrad, p. 647.
[179] Mobarrad, p. 659.
[180] Mobarrad, p. 647, 648.
[181] Mobarrad, p. 647.
[182] Chahrastânî, p. 89; Mobarrad, p. 590.
[183] Mobarrad, p. 670.
[184] Mobarrad, p. 648 et ailleurs.
[185] Mobarrad, p. 577.
[186] Mobarrad, p. 661.
[187] Mobarrad, p. 678.
[188] Mobarrad, p. 680, 683.
[189] Comparez Ibn-Kbaldoun, t. II, fol. 171 v., avec Mobarrad, p. 688.
[190] Mobarrad, p. 688-690.
[191] Mobarrad, p. 698-700.
[192] Mobarrad, p. 701; cf. p. 593 et Ibn-Cotaiba, p. 203.
[193] Voyez mes Recherches, t. II, p. 25.
[194] Mobarrad, p. 623.
[195] Ibn-Khallicân, Fasc. IX, p. 48, éd. Wüstenfeld.
[196] Chahrastânî, p. 89.
[197] Mobarrad, p. 704.
[198] Quelques auteurs arabes identifient à tort Caisân avec Mokhtâr. Ce Caisân devint plus tard chef de la garde de Mokhtâr; voyez Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 176 v.
[199] Chahrastânî, p. 108, 109.
[200] De Sacy, Exposé de la religion des Druzes, t. I, Introduction, p. XXVII.
[201] Tabarî apud Weil, t. I, p. 378, dans la note.
[202] Ibn-Khaldoun, passim.
[203] Chahrastânî, p. 110.
[204] Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 179 v.
[205] Mobarrad, p. 667.
[206] Mobarrad, p. 665.
[207] Mobarrad, p. 666, 667; Masoudî, fol. 125 r. et v.
[208] Ibn-Khaldoun, fol. 174 v., 175 r.
[209] Ibn-Khaldoun ne fait pas mention de cette clause, mais voyez le Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 305.
[210] Ibn-Khaldoun, fol. 182 v., 183 r.
[211] Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 304-307.
[212] Ibn-Khaldoun, fol. 181 v.
[213] Ibn-Badroun, p. 189.
[214] Weil, t. I, p. 411, 412; Mobarrad, p. 736.
[215] Voyez Soyoutî, Tarikh al-kholafâ, p. 216, 217, éd. Lees.
[216] Mobarrad, p. 636.
[217] Mobarrad, p. 635.
[218] Ibn-Cotaiba, p. 272.
[219] Ibn-Khallicân, t. I, p. 182 éd. de Slane.
[220] Ibn-Cotaiba, p. 201.
[221] Fâkihî, fol. 401 r.
[222] Ibn-Cotaiba, p. 202.
[223] Nouveau Journ. asiat., t. X, p. 140.
[224] Hamâsa, p. 658.
[225] Voyez les vers d'Abdalmélic cités dans le Raihân, fol. 204 r.
[226] Ce sont les noms de trois sous-tribus de Fazâra.
[227] Un des Mâzin.
[228] Voyez Aghânî, t. I, p. 27.
[229] Hamâsa, p. 260-264. Comparez, sur la mort de Halhala, Mobarrad, p. 870.
[230] Mobarrad, p. 220.
[231] Ibn-Khallicân, Fasc. IX, p. 51, éd. Wüstenfeld.
[232] Khâlid ibn-Abdallâh ibn-Asîd (et non Osaid; l'excellent manuscrit de Mobarrad donne toutes les voyelles).
[233] Mobarrad, p. 740-745.
[234] Mobarrad, p. 746.
[235] D'abord Zobairite, Mousâ ibn-Noçair avait assisté à la bataille de la Prairie. Proscrit par Merwân, il avait demandé et obtenu la protection d'Abdalazîz, le fils de ce calife. Depuis lors il était devenu un des plus fermes soutiens des Omaiyades.—Ibn-Asâkir, Hist. de Damas, man. de la Bibl. d'Aatif à Constantinople, article sur Mousâ ibn-Noçair. M. de Slane a eu la bonté de me communiquer la copie qu'il a faite de cet article.
[236] Mobarrad, p. 747-751.
[237] Mobarrad, p. 741.
[238] Voyez Ibn-Cotaiba, p. 202.
[239] Voyez sur la phrase qu'emploie ici l'orateur, Mobarrad, p. 46.
[240] Mobarrad, p. 220, 221.
[241] Mobarrad, p. 753.
[242] Weil, t. I, p. 433.
[243] Mobarrad, p. 753.
[244] Ibn-Khaldoun, fol. 186 r. et v.
[245] Mobarrad, p. 756.
[246] Mobarrad, p. 759, 765.
[247] Mobarrad, p. 766.
[248] Mobarrad, p. 785.
[249] Hamâsa, p. 658.
[250] On se rappellera que la branche des Omaiyades à laquelle appartenait Merwân, était établie à Médine.
[251] Le commentateur Tibrîzî a mal expliqué ce vers, parce qu'il n'a pas remarqué que, par une licence poétique, naffasna s'y trouve employé au lieu de naffasnâ; comparez Ibn-Cotaiba, p. 201, l. 18, et dans le Hamâsa, p. 263, l. 6 et 7, où l'on trouve talana et naaina au lieu de talanâ et de naainâ, comme il résulte de la 11e ligne de cette page.
[252] C'est-à-dire, dans la bataille de la Prairie.
[253] Hamâsa, p. 656-659.
[254] Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 221, éd. Lees.
[255] Historia Khalifatus al-Walîdi, éd. Anspach, p. 13.
[256] Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 107, éd. Wüstenfeld.
[257] Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 105.
[258] Ibn-Khaldoun, fol. 196 v.
[259] Le même, ibid.
[260] Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 112-115.
[261] Ibn-Adhârî, t. I, p. 24, 25.
[262] Isidore, c. 38, 40.
[263] Tabarî, apud Weil, t. I, p. 553.
[264] Abou-Alî Tanoukhî, Al-faradjo bada's-chiddati, man. de Leyde 61, p. 73.
[265] Ibn-Habîb, man. d'Oxford, p. 153.
[266] Isidore, c. 40. Pro multâ opulentiâ, dit cet auteur, parvum impositum onus existimat, atque mirâ velocitate impositum pondus exactat.
[267] Akhbâr madjmoua, fol. 62 r.
[268] Belâdhorî, man. de Leyde, p. 270.
[269] Cet auteur est Isidore de Béja.
[270] Dans le Khorâsân, par exemple, le Caisite Moslim al-Kilâbî fut remplacé par le Yéménite Asad al-Casrî.
[271] Voir Abou-'l-mahâsin, t. I, p. 288.
[272] Ibn-Adhârî, t. I, p. 36; Ibn-al-Abbâr, p. 47, 49.
[273] Moharram 111. Ibn-Bachcowâl, apud Maccarî, t. II, p. 10. Il faut lire Kilâbî comme on trouve chez Maccarî, chez Ibn-Khaldoun etc., non Kinânî, comme on lit chez d'autres écrivains. Dans l'écriture arabe il est facile de confondre ces deux noms.
[274] Voyez note C, à la fin de ce volume.
[275] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 49, et Weil, t. I, p. 654.
[276] Isidore, c. 57.
[277] Voyez mes Notices sur quelques manuscrits arabes, p. 47-49, 257, et Ibn-Adhârî, t. I, p. 36, 37.
[278] Ahmed ibn-abî-Yacoub, Kitâb al-boldân, fol. 69 v.
[279] Journ. asiat., IVe série, t. XVIII, p. 433.
[280] Nowairî, dans le Journ. asiat., IIIe série, t. XI, p. 580.
[281] Ibn-Khallicân, Fasc. X, p. 116, éd. Wüstenfeld; Ibn-Khaldoun, fol. 199 r.
[282] Isidore, c. 52.
[283] Isidore, c. 54.
[284] II, 18.
[285] Ibn-Adhârî, t. II, p. 20.
[286] Qui Hiscam primordio suæ potestatis satis se modestum ostendens. Isidore, c. 55.
[287] Isidore, c. 57.
[288] Chez Ibn-Adhârî (t. I, p. 37) il faut lire: un an et six mois (Chauwâl 114—Rebî II 116).
[289] Ibn-Adhârî, t. I, p. 38.
[290] Macrîzî, Des tribus arabes venues en Egypte, p. 39, 40, éd. Wüstenfeld.
[291] Akhbâr madjmoua, fol. 60 r.-61 r.
[292] Macrîzî, Histoire des Coptes, p. 22 du texte, éd. Wüstenfeld, et la note de l'éditeur, p. 54.
[293] Ibn-Khaldoun, Histoire des Berbers, t. I, p. 150, 151 du texte; Akhbâr madjmoua, fol. 63 r.
[294] Ibn-Adhârî, t. I, p. 39; Ibn-Khaldoun, loco laud.; comparez Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 222, l. 11, éd. Lees.
[295] Daumas, La grande Kabylie, p. 53-56.
[296] Daumas, p. 55.
[297] Ibn-Abd-al-Hacam, apud Weil, t. I, p. 583.
[298] Ibn-Khaldoun, fol. 202 r.
[299] Voyez les curieuses aventures du poète non-conformiste Imrân ibn-Hittân, dans Mobarrad, p. 579 et suiv.
[300] Akhbâr madjmoua, fol. 63 r.
[301] Ibn-Adhârî, t. I, p. 38-41; Ibn-Khaldoun, Hist. de l'Afrique, éd. Noël des Vergers, p. 10 et 11 du texte; le même, Hist. des Berbers, t. I, p. 151 du texte; Akhbâr madjmoua, fol. 61 v.; Isidore, c. 61; Ibn-al-Coutîa, fol. 6 v.
[302] Quelques auteurs disent que Baldj était cousin germain de Colthoum.
[303] La première leçon se trouve dans l'Akhbâr madjmoua, la seconde dans Ibn-al-Coutîa. Dans un autre endroit de l'Akhbâr madjmoua (fol. 66 r.) on lit Nacdoura.
[304] Akhbâr madjmoua, fol. 62 r.-64 v.; Ibn-Adhârî, t. I, p. 41-43; Isidore, c. 63.
[305] Isidore, c. 60; Ibn-Bachcowâl, apud Maccarî, t. II, p. 11.
[306] Isidore, c. 61.
[307] Isidore, c. 61, 63.
[308] Cette date, la seule véritable, est donnée par Râzî (apud Maccarî, t. II, p. 11).
[309] Voyez Isidore, c. 44.
[310] Voyez Sébastien, c. 11.
[311] Isidore (c. 58), qui donne des détails sur cette révolte, dit qu'elle eut lieu quand Abdérame al-Ghâfikî était gouverneur de l'Espagne. Les auteurs arabes la placent sous le gouvernement de Haitham, le prédécesseur de cet Abdérame; voyez Ibn-Adhârî, t. II, p. 27, et Maccarî, t. I, p. 145.
[312] C'est ce que Rakîk (apud Ibn-Adhârî, t. I, p. 43) dit formellement, et cette assertion a un bien plus haut degré de probabilité que celle d'autres chroniqueurs, qui disent qu'Abdérame ibn-Habîb arriva en Espagne en compagnie de Baldj.
[313] Voyez Ibn-al-Abbâr, p. 51.
[314] Les Arabes croyaient que, lorsqu'un homme avait péri de mort violente, son âme, fuyant le corps auquel elle avait été unie, se métamorphosait en un hibou ou en une chouette, qui continuait de faire entendre sa voix jusqu'à ce que le mort eût été vengé sur le meurtrier.
[315] Akhbâr madjmoua, fol. 65 v.-69 r.; Isidore, c. 64-67; Ibn-Adhârî, t. II, p. 30-34; Maccarî, t. II, p. 11-14; Ibn-al-Coutîa, fol. 7 r.-8 v.; Ibn-al-Khatîb, dans mes Recherches, t. I, p. 84 et suiv.
[316] Maccarî, t. II, p. 11.
[317] Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 176 r.
[318] Voyez Tabarî, t. I, p. 6-12, 32-42; Nawawî, p. 274; Ibn-Cotaiba, p. 132.—Les rationalistes de ce temps-là ne manquèrent pas de dire que la mort de Sad avait été causée par la morsure d'un reptile venimeux.
[319] Akhbâr madjmoua, fol. 72 v.-78 r.; Maccarî, t. II, VIe Livre; Ibn-Adhârî, t. II, p. 35-38, 43-45; Ibn-al-Abbâr, p. 46-50, 52, 54; Isidore, c. 68, 70, 75; Ibn-al-Khatîb, man. E., article sur Çomail.—Quant au nom du chef caisite qui va jouer un grand rôle dans ce récit et dans les suivants, comme les manuscrits arabes n'en indiquent pas les voyelles, on ne saurait si la véritable prononciation en est Çomail ou bien Çamîl, si la manière dont l'écrit l'auteur contemporain Isidore (Zumahel) ne tranchait la question.
[320] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 16 v.
[321] Voyez le témoignage d'Abdérame Ier (dans l'Akhbâr madjmoua, fol. 88 r.), que nous reproduirons plus loin.
[322] Akhbâr madjmoua, fol. 78 v.
[323] Ibn-al-Coutîa, fol. 17 r.
[324] Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 177 v.
[325] Deux tribus yéménites.
[326] Voyez le Commentaire de Soccarî sur le Divan de Ferazdac, man. d'Oxford, fol. 93 v.
[327] Ibn-Khaldoun, t. II, passim.
[328] Dans l'Akhbâr madjmoua on lit: Thoâba ibn-Amr; mais je crois devoir y substituer: Amr ibn-Thoâba.
[329] L'auteur de l'Akhbâr madjmoua dit qu'Ibn-Horaith appartenait au peuple du district du Jourdain; mais ce doit être une erreur, car, dans ce cas, il eût été Syrien, et comment expliquer alors sa haine pour les Syriens?
[330] Voyez sur Secunda, Maccarî, t. I, p. 304.
[331] Akhbâr madjmoua, fol. 81 r.
[332] Ou Habhâb.
[333] L'Akhbâr madjmoua (fol. 69 r.—72 v., 77 r., 78 r.—80 r.) a été ma source principale pour ce récit et pour celui qui le suit immédiatement, Quelques détails m'ont été fournis par Maccarî, VIe livre.
[334] Les documents nomment ici l'Espagne, mais c'est sans doute une erreur, car ce n'était pas à l'Espagne, mais à l'Afrique qu'Ibn-Habîb s'intéressait. Probablement le juif avait nommé l'Afrique; mais l'événement ayant démenti sa prédiction, on aura substitué le nom de l'Espagne à celui de l'Afrique.
[335] Ibn-Adhârî, t. I, p. 49, 50.
[336] Voyez Becrî, dans les Notices et extraits, t. XII, p. 559.
[337] Ibn-al-Coutîa, fol. 9 v.
[338] Elle avait été mariée à Catan, fils de cet Abdalmélic le Fihrite qui avait été gouverneur de l'Espagne.
[339] Voyez Akhbâr madjmoua, fol. 80 r.—83 r.
[340] La position de la villa d'al-Fontîn qui, à la fin du neuvième siècle, appartenait encore aux descendants d'Ibn-Khâlid, est indiquée par Ibn-Haiyân, fol. 76 v., 83 v.
[341] Je sais bien qu'il y a aujourd'hui un Torrox à l'ouest d'Almuñecar, sur le rivage de la Méditerranée; mais la position du domaine dont il est question dans le texte, est clairement indiquée par Ibn-Haiyân, fol. 83 v.
[342] Wâdî-Charanba dans l'Akhbâr madjmoua; Ibn al Abbâr (p. 52) nomme ici le Wâdî-ar-ramal (la rivière sablonneuse), c'est-à-dire le Guadarrama.
[343] Voyez Burckhardt, Bedouins, p. 36.
[344] Le mot ildje ne signifie pas seulement chrétien, comme on trouve dans nos dictionnaires, mais aussi renégat; voyez Marmol, Description de Affrica, t. II, fol. 17, col. 1; Hœst, Nachrichten, p. 147; Charant, p. 48; Jackson, p. 140.
[345] Voyez Akhbâr madjmoua, fol. 83 r.-91 r., livre que j'ai suivi de préférence à tout autre; Ibn-al-Coutîa, fol. 10 v.-13 r.; Ibn-al-Abbâr, p. 42, 50, 54, 55.
[346] Comparez Ahmed ibn-abî-Yacoub, fol. 78 v.
[347] Voyez Ibn-al-Coutîa, fol. 13 v.
[348] Dans ce nom propre Corona est le nom latin pour couronne; tâ est le préfixe berber. Ce nom caractéristique était celui d'une de ces forteresses bâties sur le pic d'un rocher, si nombreuses dans la Serrania de Ronda. L'endroit qu'habitaient les Beni-al-Khalî conserve encore leur nom, altéré en Benadalid. C'est une petite ville, avec un château très-pittoresque, au sud de Ronda, sur la rive droite du Genal. Voyez Marmol, Rebelion de los Moriscos, fol. 221, col. 1, et Rochfort Scott, Excursions in the mountains of Ronda and Granada, t. I, p. 89.
[349] Voyez sur Ximena, petite ville avec un château de construction romaine, Rochfort Scott, t. II, p. 28 et suivantes. Le nom de la tribu de Kinéna s'est aussi conservé dans Ximena entre Jaën et Jodar, et dans Torreximeno, au nord de Martos.
[350] Akhbâr madjmoua, fol. 84 r.
[351] Ibn-al-Coutîa, fol. 11 r. Les Beni-Bahr étaient, ajoute-t-il, une sous-tribu des Lakhmites. Brenes est une altération du mot arabe Bahrîn.
[352] Espèce de haricots.
[353] Dans le Xe siècle, Jean de Gorz, ambassadeur de l'empereur Otton Ier à la cour d'Abdérame III, vit à Cordoue la cavalerie légère montée sur des mulets un jour de grande parade. Vita Johannis Gorziensis, c. 132.
[354] Comparez Ibn-al-Coutîa, fol. 12 r., et l'Akhbâr madjmoua, fol. 86 v., avec Khochanî, p. 219.
[355] Ziyâd, frère bâtard de Moâwia Ier et gouverneur de l'Irâc, faisait un éloge analogue en parlant de Hâritha. Voyez Ibn-Khallicân, t. I, p. 325, éd. de Slane.
[356] Cet endroit se trouvait probablement dans le voisinage de Fuente de Cantos, au N. O. de Séville.
[357] Voyez Maccarî, t. II, p. 24.
[358] Les auteurs arabes diffèrent entre eux sur la tribu à laquelle appartenait Alâ. Les uns nomment celle de Yahçob, d'autres celle de Hadhramaut, d'autres encore celle de Djodhâm.
[359] On sait que le noir était la couleur des Abbâsides.
[360] Akhbâr madjmoua, fol. 91 r.-92 r.; Ibn-al-Coutîa, fol. 14 r. et v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 53-55. Quelques historiens disent que le sac fut porté par un pèlerin de Cordoue, non pas à Cairawân, mais à la Mecque, où Al-Mançour se trouvait alors.
[361] Akhbâr madjmoua, fol. 92 r. et v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 55.
[362] Akhbâr madjmoua, fol. 92 v.
[363] Akhbâr madjmoua, fol. 92 v.-93 v.; cf. Ibn-al-Abbâr, p. 45.
[364] Sontebria (aujourd'hui Castro de Santover, sur les bords du Guadiela) était une ville importante à l'époque de la domination arabe. De Gayangos, notes sur Râzî, p. 47.
[365] Akhbâr madjmoua, fol. 93 v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 56, 57; Nowairî, p. 441.
[366] Ibn-al-Coutîa nomme cette rivière, qui semble aussi avoir porté le nom de Wâdî-Cais (rivière des Caisites), comme on trouve chez Ibn-Adhârî.
[367] Akhbâr madjmoua, fol. 93 v., 94 r.; Ibn-al-Coutîa, fol. 13 r. et v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 52, 53.
[368] Solaimân ibn-Yacdhân al-Arâbî.
[369] Ibn-al-Abbâr, p. 56.
[370] C'est ainsi que je crois devoir entendre ces paroles de l'auteur de l'Akhbâr madjmoua: «Le Slave écrivit à al-Arâbî pour lui demander de faire cause commune avec lui. Al-Arâbî lui répondit: «Je ne manquerai pas de vous aider.» Le Slave fut d'autant plus mécontent de cette réponse qu'il voyait qu'al-Arâbî ne rassemblait pas de troupes pour venir à son aide,» etc.
[371] Comparez, sur tous ces événements, les annales franques, dans Pertz, Monum. Germ., t. I, p. 16, 81, 156-9, 296, 349, avec l'Akhbâr madjmoua, fol. 94 v., 95 v.-96 v.
[372] Voyez le poème d'Abou-'l-Makhchî sur cette bataille, apud Ibn-al-Khatîb, man. P., fol. 214 r. et v.
[373] Akhbâr madjmoua, fol. 98 r. et v.; Ibn-Adhârî, t. II, p. 61-2.
[374] Ibn-al-Coutîa, fol. 18 r.; cf. Khochanî, p. 204-5.
[375] Akhbâr madjmoua, fol. 95 r.; Maccarî, t. II, p. 30.
[376] Maccarî, t. II, p. 30.
[377] Voyez Maccarî, t. II, p. 27 et suiv.
[378] Maccarî, t. II, p. 32.
[379] Akhbâr madjmoua, fol. 93 v.; Maccarî, t. II, p. 31, 32.
[380] Maccarî, t. II, p. 32, 33.
[381] Maccarî, t. II, p. 25.
[382] Maccarî, ibid.
TOME DEUXIÈME
LE Y D E
E. J. B R I L L
Imprimeur de l’Université
——
1861