Tome III
(1846)
Troisième partie
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Ce que venait annoncer M. Le Comte de Monsoreau.
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Comment le roi Henri III apprit la fuite de son frère bien-aimé le duc d’Anjou, et de ce qui s’ensuivit.
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Comment Chicot et la reine mère se trouvant être du même avis, le roi se rangea à l’avis de Chicot et de la reine mère.
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Où il est prouvé que la reconnaissance était une des vertus de M. de Saint-Luc.
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Le projet de M. de Saint-Luc.
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Comment M. de Saint-Luc montra à M. de Monsoreau le coup que le roi lui avait montré.
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Où l’on voit la reine mère entrer peu triomphalement dans la bonne ville d’Angers.
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Les petites causes et les grands effets.
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Comment M. de Monsoreau ouvrit, ferma et rouvrit les yeux, ce qui était une preuve qu’il n’était pas tout a fait mort.
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Comment le duc d’Anjou alla à Méridor pour faire à madame de Monsoreau des compliments sur la mort de son mari, et comment il trouva M. de Monsoreau qui venait au-devant de lui.
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Du désagrément des litières trop larges et des portes trop étroites.
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Dans quelles dispositions était le roi Henri III quand M. de Saint-Luc reparut a la cour.
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Où il est traité de deux personnages importants de cette histoire, que le lecteur avait depuis quelque temps perdus de vus.
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Comment les trois principaux personnages de cette histoire firent le voyage de Méridor à Paris
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Comment l’ambassadeur de M. le duc d’Anjou arriva à Paris, et la réception qui lui fut faite.
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Lequel n’est autre chose que la suite du précédent, écourté par l’auteur pour cause de fin d’année.
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Comment M. de Saint-Luc s’acquitta de la commission qui lui avait été donnée par Bussy.
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En quoi M. de Saint-Luc était plus civilisé que M. de Bussy, des leçons qu’il lui donna, et de l’usage qu’en fit l’amant de la belle Diane.
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Les précautions de M. de Monsoreau.
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Une visite à la maison des tournelles.
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Les guetteurs.
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Comment M. le duc d’Anjou signa, et comment, après avoir signé, il parla.
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Une promenade aux Tournelles.
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Où Chicot s’endort.
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Où Chicot s’éveille.
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La Fête-Dieu.
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Lequel ajoutera encore à la clarté du chapitre précédent.
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La procession.
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Chicot Ier.
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Les intérêts et le capital.
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Ce qui se passait du coté de la Bastille, tandis que Chicot payait ses dettes à l’abbaye Sainte-Geneviève.
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L’assassinat.
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Comment frère Gorenflot se trouva plus que jamais entre la potence et l’abbaye.
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Où Chicot devine pourquoi d’Éperon avait du sang aux pieds et n’en avait pas aux joues.
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Le matin du combat.
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Les amis de Bussy.
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Le combat
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Conclusion.