À Paul Meurice.

Lundi [18 mars 1850].

Cher poëte, nous ne vous avons pas eu hier soir, mais je vous ai ce matin. Votre noble esprit entre chez moi avec le premier rayon de soleil. Merci. À la manière dont vous admirez, je sens que vous aimez. Être aimé d’un homme comme vous, c’est là une gloire qui me va au cœur.

À bientôt, n’est-ce pas ? À dimanche dans tous les cas.

Je vous serre la main.

Victor Hugo.

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