À Madame Rivière (Madame Victor Hugo).

Mon cher ami,

M. Rivière est bien portant, mais il a trouvé en arrivant tant d’affaires qu’il ne peut encore vous écrire. Il me charge de le faire à sa place en vous priant d’en faire part à sa femme et à ses enfants. Dans la situation actuelle, il faudra encore un peu de temps pour que le commerce reprenne ; cependant tout peut finir par aller bien.

Dites à madame et à Mlle Rivière que M. Rivière les embrasse bien, et compte les revoir bientôt.

Votre ami

Albert Durand.

Lundi 8 [décembre 1851].

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