À Paul Meurice.

18 janvier.

Encore des ennuis que je vous envoie, comme manière de vous prouver ma reconnaissance pour toutes les peines que je vous donne. Votre lettre sur l’affaire Rigoletto nous a fait le plus grand plaisir. Maintenant, voulez-vous vous charger de remettre celle-ci à notre excellent et éloquent ami Crémieux, et l’autre (double) à la Commission des auteurs dramatiques. — Je ne sais comment faire pour vous répéter que je suis à vous du fond du cœur. Je voudrais pouvoir vous dire d’une façon nouvelle que je vous aime à la vieille manière. Quelles bonnes causeries vous devez faire avec Auguste. Je suis jaloux de lui et envieux de vous.

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