9 novembre [1858].
Nous recevons la bonne nouvelle de votre grand succès ; cher poëte, nous sommes ici un parterre de guernesiais et de belges ; et nous vous crions en bon français Bravo ! (c’est de l’italien). Ayez trois cents représentations, et venez passer ici autant de jours que Fanfan la Tulipe aura de soirées.
Victor Hugo.
Aimez-moi et pensez à moi.
Adèle.
Je me joins à mon père et à ma mère, cher Monsieur.
L’autre Adèle.
Merci à vous qui êtes en France de ce que vous faites pour nous qui sommes ici.
Kesler.
Mes souhaits les plus affectueux.
Théophile Guérin.
Nous avons bien pensé à vous, mon cher Meurice, samedi dernier et nous sommes heureux que nos vœux aient été écoutés par le public de l’Ambigu. Bravo ! bravo ! nous vous aimons et nous vous applaudissons du fond du cœur.
Charles Hugo.
Je suis ici, et la nouvelle de votre succès y arrive. Jugez de ma joie, cher ami !
Noël Parfait.
Compliments très vifs et très sincères quoique d’un inconnu.
Gust. Frédérix.
Vive Fanfan la Tulipe ! Que tout le reste ait la colique.
J. Hetzel.
Bravo , Paul ! bravo, Meurice ! bravo, Fanfan ! bravo, la Tulipe ! J’implore l’œuvre et je pleure l’auteur.
Titi Hugo.
Bravo, c’est-à-dire merci !
Auguste Vacquerie.
Mouche.
Lux.