À Albert Lacroix.

Dim. 23 [mars 1862].

Votre hourrah m’enchante, cher monsieur. Je crois en effet à une certaine émotion, et ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre. — Je vous envoie une lettre de M. Aug. Vacquerie, qui aide à la correction à Paris. Il est bon que vous la lisiez, pour les choses très justes qu’elle contient sur ce qu’il faudrait faire au moment de la publication. Les mêmes choses à Bruxelles seraient excellentes, dans l’Indépendance, l’Étoile, le Sancho, etc. — Vous jugerez certainement cela comme moi, et je pense qu’il vous sera aisé d’obtenir de vos journaux ce que Vacquerie a obtenu des nôtres. Quand vous aurez lu la lettre, soyez assez bon pour me la renvoyer par le plus prochain courrier.

Je vous envoie quatre feuilles corrigées dont un bon à tirer.

Il faudrait remplir le second verso blanc de la couverture avec cette annonce en gros :

(Annonce publiée.)

Mille affectueux compliments.

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