À François-Victor.

H.-H. 15 mars [1865].

Mon Victor, cette lettre m’arrive. Je te l’envoie en hâte. Fais-moi savoir le plus tôt possible ce qu’elle contient. Tu sais ma profonde sollicitude. Je n’aurai pas de repos tant que cette pauvre enfant ne sera pas heureuse, et j’ai peur, hélas, de toutes les nouvelles d’Amérique.

Cette bonne Mme de Putron qui t’aime tant est triste de n’avoir pas encore un mot de toi.

Je vous embrasse, mes aimés de là-bas, tendrement et tristement.

V.

Tout est bien ici.

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