Monsieur J. Aicard. (Élève au lycée, Nîmes.)

Hauteville-House, 4 mai [1865].

Vous avez bien fait de m’envoyer vos vers. Ils sont émus et touchants. On y sent la palpitation d’un jeune et noble esprit. Courage, mon doux poëte. Adorez passionnément la vérité, la justice et la liberté, et aimez-moi un peu.

Victor Hugo.

Share on Twitter Share on Facebook