À Jean Aicard.

Hauteville-House, 18 juin [1866].

Jeanne d’Arc (je lui maintiens cette belle orthographe de guerrière) vous a noblement inspiré. Vous nous faites traverser avec elle les livides lueurs de l’orage des armes.

Pour ces traits puissants, aucun historien ne vaut le poëte. Vos strophes émues chantent et pleurent.

Je vous remercie comme citoyen, je vous applaudis comme poëte.

Victor Hugo.

Je pars. Je serai à Bruxelles fin juin.

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