À Madame Victor Hugo. À ses fils.

H.-H., 14 mars [1866].

Je prie mon Victor d’envoyer sûrement la lettre à M. G. Millot. Elle en contient une pour Rogeard. Vous pouvez tout lire. — Je vous envoie un frontispice pour M. Baudelaire. Il a fait la sourde oreille aux Ch des R. et des B. mais je vous laisse juges. Envoyez-le-lui, si vous le trouvez bon.

Paul va bien. Après avoir chuté les Ch. des R. et des B. au profit du Lion Ponsard, il chute maintenant (11 mars) et d’avance Les Travailleurs de la Mer au profit de la Contagion-Augier. Qu’en dites-vous ? — M. Millaud est charmant. Il m’envoie Le Soleil et Le Petit Journal (grand format). Vogue donc la galère des Travailleurs de la Mer. — Rappelez à M. Lacroix que je tiens à l’envoi des exemplaires belges, vraie édition princeps.

Je vous embrasse, mes bien-aimés.

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