À Albert Lacroix.

H.-H., 6 mars.

Mon cher M. Lacroix, lisez la lettre ci-contre. Vous verrez qu’on espère en moi, ou plutôt qu’on espère en vous à travers moi. Que faire devant des instances si vives ? Si j’étais éditeur, j’essaierais. Je vous adresse M. Frutel. Lisez son manuscrit. Vous êtes vous-même homme de talent ; donc connaisseur. Que l’écrivain conseille l’éditeur. Je ne puis, moi, qu’appuyer vivement le pauvre jeune poëte.

Croyez à toute ma cordialité.

Victor Hugo.

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