À Auguste Vacquerie.

Novembre 1868.
H. H., dimanche.

Votre cœur ne peut pas être frappé sans que le mien saigne. Cher Auguste, votre vénérable mère était pour moi comme une sœur de destinée et de deuil. Je la pleure. Que d’âmes douces et tendres au-dessus de nous, dans ce bleu sombre de la mort !

Regardez-les avec l’œil de votre grand esprit. Vous les voyez, n’est-ce pas ? Moi aussi.

Aimons-nous.

V.

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