À Auguste Vacquerie.

H.-H., jeudi 9 [juillet 1868].

Vous avez raison, comme toujours. Voici une nouvelle lettre pour M. V. Koning. En tout, faites, et faites pour le mieux. Je ne crois pas du tout à la représentation, mais un essai, s’il est sérieux, serait bon. — Si vous voyez Charles, dites-lui que j’ai sa lettre excellente, et que j’attends, pour lui écrire, « les comptes de Marianne » qu’il m’annonce.

Nous sommes ici dans un poêle, vous devez être dans une fournaise à Paris. — Voulez-vous être assez bon pour faire parvenir cette lettre à M. Robert Halt, dont j’ignore l’adresse.

En revenant de la Forêt Noire, vous nous lirez du Faust. Enfoncé, Gœthe ! In hac spe, salve.

5 h. Au moment de fermer ceci, m’arrive la lettre de Charles (du 2 juillet) retardée pour affranchissement insuffisant. Voudrez-vous le lui dire ? Les comptes de Marianne y sont. Mais il est trop tard pour envoyer de l’argent. J’en enverrai demain, avec réponse.

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