À la princesse Sophie Galitzine.

Bruxelles, 13 7bre.

Vous êtes, madame, une âme charmante et une grande âme. Vos larmes consolent les miennes. L’amie inconnue devient désormais l’amie préférée. C’est votre cœur que vous m’envoyez ; je l’accepte, attendri. Je pleure, mais celle qui est morte, grande âme aussi, vous sourit. Je me mets à vos pieds.

Victor Hugo.

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