à Jules Janin.

H-H, 11 avril.

L’académie a besoin de pardon. Il y a des jours où elle s’en aperçoit. C’est pourquoi vous êtes nommé. C’est un réveil de conscience. Quel dommage que cette conscience se rendorme tout de suite après ! Cher confrère, votre nomination est un succès pour l’académie. Quant à vous, vous avez pour succès toutes vos œuvres. Je vous embrasse. Victor Hugo.

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