à Auguste Vacquerie.

H-H, 10 juillet.

Cher Auguste,

c’est à moi de vous remercier, non seulement de ce que vous dites pour moi, mais de ce que vous dites pour tous. Des pages comme les vôtres sont des actes. Tous les jours votre plume livre et gagne la bataille de la vérité. ô puissant lutteur, courage !

V.

Mes hommages et toutes mes espérances à Mesdames Lefèvre. Ernest Lefèvre sera certainement mis en liberté. Cette fois, les gens de Versailles se contenteront d’avoir été bêtes. — féroces sera pour une autre occasion. — que je voudrais vous serrer la main ! à bientôt, n’est-ce pas ?

Share on Twitter Share on Facebook