à Jean Aicard.

H-H, 12 janvier.

Certes, à bientôt,

mon cher et charmant poëte, soit ici, soit à Paris. Je travaille ici ; mon travail fini, j’aurai besoin de serrer votre main cordiale. Ah çà, et cette renaissance , si spirituelle et si robuste, est-ce qu’elle ne va pas reparaître ? Il y avait là le souffle du jeune esprit. Salut à votre vaillant groupe, ô mes poëtes. Je vous serre tous dans mes vieux bras.

Votre ami.

Victor Hugo.

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