À Auguste Vacquerie.

H.-H., 8 avril.

Cher Auguste, j’ai enfin une communication de M. Lacroix, je vous ai dit que je lui ferais passer par vous ma réponse ; la voici. Voulez-vous la lui remettre le plus tôt possible (après l’avoir communiquée à Paul Meurice). Peut-être penserez-vous qu’il suffirait, pour toute protestation, de publier cette lettre-ci (du 8 avril). Pourtant je trouvais utile de rectifier le faux prix (50 000 francs) et de souligner mon dédain des tribunaux. D’un autre côté, c’était, pour Lacroix, un peu dur ; cette lettre-ci, plus douce, irait peut-être aussi bien au but. Faites tous deux pour le mieux. Je m’en remets à vous.

Merci et à vous. De todo corazon.

Soyez assez bon pour m’écrire quel jour je puis tirer sur M. Lacroix pour les 100 000 fr (veille de la mise en vente). Vous l’avez prévenu, n’est-ce pas ?

J’attends aussi l’épreuve de la préface. Il n’y a plus qu’à paraître.

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