À Auguste Vacquerie.

H.-H., 29 Xbre.

Cher Auguste, je profite de ce petit envoi au Rappel pour vous dire que votre article nécessité dit admirablement le mot même de la situation. Dissoudre cette pseudo-chambre est le premier pas à faire. Quelques pages comme celle que vous venez d’écrire, cher ami et maître, y contraindraient l’empire. Je m’en fie à vous. Vous ne lâcherez pas prise. Vous le tenez acculé. Vous l’achèverez.

Vous savez que je vous donne pouvoir discrétionnaire sur ma lettre à Charles destinée à votre numéro d’exception. Coupez tout ce que vous voudrez.

Ne trouveriez-vous pas utile de publier dans le Rappel l’extrait ci-inclus ?

Je nous souhaite pour l’an 1870 le nouveau Faust.

À vous.

V.

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