à Hippolyte Lucas.

15 septembre. Cher confrère, je reconnais là votre vieille et forte amitié. Je vous remercie du fond du cœur ; je tiens en réserve votre offre excellente pour ma bru et pour mes deux petits-enfants. Quant à moi, je suis venu à Paris pour des devoirs suprêmes, et j’ai l’intention de peu me ménager. Je ne ferai pas au bombardement l’honneur de me déranger pour lui. Merci pour mon petit Georges et ma petite Jeanne. Je serre votre vaillante et cordiale main. Victor Hugo.

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