à Nadar.

23 septembre. Je reçois votre lettre excellente en retard. Mais l’occasion se représentera, j’espère. Si le gouvernement voulait, il n’aurait qu’à se servir de mes deux appels aux allemands et aux français. Distribués par vos ballons, ils seraient très utiles. Tous nos exemplaires sont épuisés, et le papier nous manque. Le gouvernement en a, dites-le lui, qu’il fasse tirer à des millions d’exemplaires et distribuer (par vous, du haut du ciel) ces deux appels aux deux peuples, l’effet sera, je crois, incalculable. Si vous le pouvez, dites-le à qui de droit. — je presse vos vaillantes mains. Victor Hugo.

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