À Madame Frédéric Godefroy.

[S. d., 1869.]

Je suis, madame, bien touché de vos gracieuses paroles. J’ai lu l’ouvrage que votre lettre accompagnait. Soyez assez bonne pour transmettre mon applaudissement à l’homme distingué qui a l’honneur et le bonheur d’être votre mari, et pour lui dire que j’aime la liberté, même contre moi, et que le talent me plaît sous toutes ses formes, même quand il m’est hostile.

Je mets à vos pieds, madame, mes respects et mes hommages.

Victor Hugo.

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