à Paul Meurice.

H-H, 5 avril. Ce que vous voulez, vous l’aurez. Vous le désirez, donc ce sera, mais c’est horriblement difficile. Une chose longue est presque nécessairement une chose dangereuse, et il ne faut pas greffer un procès de plus sur tant de procès. Cependant je vais éplucher ce volume inédit (terrible)

et je finirai par trouver. Et puis vous mettrez

des points. -c’est convenu, comptez sur moi. Je vous envoie une lettre qui fait en ce moment très utilement le tour des journaux anglais, lesquels l’approuvent fort. Voyez si vous la voulez pour le rappel . C’est à propos du normandy , catastrophe qui a remué l’Angleterre pendant que la haute-cour absorbait la France. à propos du normandy , tâchez donc de trouver moyen de dire que les personnes qui m’ont écrit du 10 au 16 mars ne doivent pas s’étonner si je ne leur réponds pas, leurs lettres étant au fond de la mer. Cette fois l’océan a fait la besogne de M Vandal. Je ferme en hâte cette lettre. On m’appelle près de ce pauvre Kesler qui est bien malade. à vous tendrement. V.

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