À Paul Meurice.

Bruxelles, 4 octobre.

Me voici revenu. J’ai votre chère et douce lettre, solatia mea. Vous revoir va être ma joie. Dès qu’Auguste le pourra, le 20, soit, je vous attends. Je partirai du 12 au 15. Je n’ai plus une minute à perdre.

Il faut un traité spécial et détaillé pour la chose en question, acceptée, mais qui reste à conclure. Il faudrait que M. Lacroix donnât ici plein pouvoir à quelqu’un, M. Wolfcerius ou M. Lequeux, afin de fixer les détails. Le plus tôt possible serait le mieux. Voulez-vous être assez bon pour lui dire de désigner immédiatement son fondé de pouvoir avec qui je conclurais.

Le groupe voyageur vous aime et vous embrasse. À bientôt. À jamais.

Tuissimus.

V.

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