À Jean Aicard.

1er mai.

Voici, cher poëte, la lettre que j’adresse à votre vaillant groupe. Venez donc me voir ce soir, et en causer avec moi. J’en voudrais corriger l’épreuve. Peut-être feriez-vous bien d’en donner la primeur au Rappel. Cela vous ferait une annonce utile.

À vous.

V. H.

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