À Jules Claretie.

25 mai.

Tout jeune que vous êtes, vous êtes pour moi un ancien ami. Je vous remercie de m’avoir fait lire votre belle et cordiale page sur l’Année terrible. Vous savez comme j’aime votre charmant esprit. Charmant, parce qu’on y sent le cœur.

Venez donc dîner avec nous jeudi 50 (7 h.). Oui, n’est-ce pas ?

Et je vous remercie encore.

Ex imo corde.

V. H.

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