À Léon Cladel.

5 juin 1872.

Vous avez fait, monsieur, un livre puissant et vrai. Vous touchez au mal, mais c’est pour le bien. Vous maniez hardiment la plaie en homme qui fait crier, mais qui saurait guérir. J’aime ces fortes pages où la vie est partout. Votre livre est un livre de vérité et de probité.

Je vous remercie.

Victor Hugo.

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