À Paul Meurice.

Dimanche matin [2 juin 1872].

Cher Meurice, d’abord quelle charmante et puissante histoire que votre Lahire ! Je compte bien vous en parler ce soir. Mais voici : j’ai une grosse dette à payer pour Charles à la banque de Guernesey, je ne voudrais pas vous accabler de mes affaires dans un instant où vous êtes surchargé, puis-je envoyer directement toucher ce qui m’est dû en ce moment pour Ruy Blas chez Roger ? Est-il ouvert le dimanche ? Que je suis bête d’avoir attendu jusqu’à aujourd’hui pour vous demander cela ! Pardonnez-moi, et aimez-moi.

À ce soir, doux et cher ami.

V. H.

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