À Paul Meurice.

28 mars.

Cher Meurice, vous verrez que je n’ai pu donner qu’un bon à tirer. Voulez-vous prendre la peine d’indiquer le chiffre du tirage.

Je vous envoie Février. J’appelle votre attention sur la pièce intitulée Aux rêveurs de monarchie. Y a-t-il assez de liberté de presse pour publier

cela ? Un conseil, ô mon admirable ami.

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