À Paul Meurice.

H.-H., 29 Xbre.

Mon admirable ami, je viens à vous. Je suis perplexe. M. Ch. Valois m’écrit au nom de la Société. Voici sa lettre. Lisez-la. Il y a du vrai dans ses raisons. Et vous aussi, vous êtes dans le vrai. Que faire ? Décidez-le vous-même. Je vous remets la décision et je m’incline devant votre souveraineté. Vous pourriez, je crois, causer avec M. Ch. Valois, et résoudre la difficulté en commun. Ce que vous ferez sera bien fait.

Voulez-vous prendre note que le 8 janvier, M. Prévinaire, gouverneur de la Banque Nationale belge, fera toucher chez vous un bon signé de moi de 7 392 fr. 40c ; je dis sept mille trois cent quatrevingt-douze francs 40mes.

Voulez-vous être assez bon pour transmettre cette lettre à M. Ch. Valois, 27, r. Lepic : l’avantage de publier en dehors des vacarmes de Versailles est certain, d’un autre côté, il y aurait inconvénient pour le livre. Pesez, et décidez.

Je suis sûr de bien finir cette année et de bien commencer l’autre, car je lirai votre Jeanne d’Arc. C’est beau, doux et grand.

Tuus.

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