À Paul Meurice.

Dimanche matin.

Ma foi, tant pis. J’ai interrompu mes épreuves pour lire votre article si beau, si vrai, si sage, sur l’Internationale. Prenez-vous-en du retard à vous-même, cher ami.

Je vous envoie des corrections sur lesquelles j’appelle votre attention dans À la France de 1872, aussi bien pour le Rappel que pour Ruy Blas.

À ce soir.

V.

Je vous signale tout de suite une grosse bévue de l’imprimerie. Toutes les pièces (de l’Année terrible) doivent tomber en belle page. Autrement elles ont l’air d’être toutes des sections de la même, ce qui les rendrait inintelligibles.

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