22 novembre 1872.
Bravo, caballero. Venja usted a lunes a los siete. El puchero espera a usted. Muchisimas gracias. Et puis si vous avez quelque velléité burgrave, chose peu probable, voici une stalle pour ce soir.
Un poëte comme vous.
À lundi donc, je serre vos excellentes mains et je suis jaloux de votre plume.
Todo mio.
Victor.
Bravo, mon gentilhomme. Venez lundi à sept heures. La soupe (puchero) vous attendra. Mille grâces.
Voilà la traduction, cher Philippe. C’est du médiocre français d’après du médiocre espagnol.