À Alfred Asseline.

H.-H., dimanche 7 juillet.

Mon cher Alfred, Bruxelles m’appelle si énergiquement que je pars mercredi. Je pars avec cette joie que ton cher enfant est convalescent, et avec cet espoir que tu viendras cet automne, à ma rentrée à Hauteville-House, manger mon raisin, qui est bon, et serrer ma main, qui est bonne aussi.

Salut, cher Alfred, à ton charmant esprit.

Victor H.

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