À François-Victor.

[1867.]

Mon petit Victor, dis à ta mère que je paierai les 500 fr. qu’elle doit sans rien retrancher de son allocation mensuelle. Seulement fais-lui remarquer, et remarque toi-même, que ces 500 fr. là, son voyage et sa dépense à Paris, la pension de Charles, les dettes de Charles ici qu’il faudra achever de payer, les 1 000 ou 1 500 fr. qu’il va falloir donner à Aubin, tout ce petit ensemble dévore cette année l’accroissement d’aisance qu’aurait pu avoir la maison. Heureusement rien de pareil ne se produira l’année prochaine, à l’exception de la pension de Charles.

Je t’embrasse, cher enfant.

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