À Madame Victor Hugo.

Hauteville-House, dimanche 23 [juin 1867].

Chère bien-aimée.

C’est toi que je félicite. Tu as été vaillante et charmante. Ce sont tes habitudes. Ta lettre pleine d’esprit sur la répétition est arrivée en même temps qu’un télégramme de Bruxelles disant immense succès et un télégramme de Paris (notre cher E. Allix) disant : Succès sans précédent. Enthousiasme ardent. C’est déjà dans les journaux anglais. J’envoie à notre généreux et cher Émile Allix mon speech pour Maximilien. Je doute qu’il puisse être publié en France.

Je n’ai plus que le temps de te serrer dans mes bras.

Tendresses à tous.

V.

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