À Paul Meurice.

H.-H., 23 janvier.

Bravo pour la bonne nouvelle ! Vous achevez un drame, et la foule va applaudir encore une fois le doux et puissant et charmant maître qui s’appelle Paul Meurice. Vous êtes comme le dieu, vous préparez votre char, currus parat. Merci de cette joie que vous donnez à votre vieil ami. — Voici la lettre pour M. Lockroy. Voici l’adhésion à la société musicale signée. (Mlle A. Patti chante continuellement sur le théâtre ma chanson : Si vous n’avez rien à me dire. Il y a lieu à droit, ce me semble.) Quel malheur que le théâtre ne soit pas fait dans ce livre Paris par vous ! Pourquoi Auguste a-t-il refusé ? Moi, je désignerais volontiers ce charmant talent M. Louis Leroy. Qu’en dites-vous ? — Voudrez-vous encore payer 40 fr. pour moi à M. Lanvin ? — Avez-vous de l’argent pour payer les 60 fr. de l’assurance ? Ils sont échus. Vous dois-je envoyer pour cela une traite sur Paris ? Répondez-moi un mot là-dessus.

Mon cœur déborde d’amitié pour vous.

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