À Paul Meurice.

Bruxelles, 18 août.

Nous vous avons espéré le 15, hélas, en vain. La fête de Bonaparte ne peut pas être ma fête. Vous n’êtes pas venu.

Aujourd’hui je pars pour une absence de quelques jours, et j’espère à mon retour qu’il y aura encore moyen de nous rencontrer et de nous embrasser.

À vous. Du plus profond de moi.

V. H.

Share on Twitter Share on Facebook